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Ecrire le Vietnam Contemporain

 

Ecrire le Vietnam Contemporain
DOAN Cam Thi
 
 

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Maître de conférences à l’Institut national de langues et civilisations orientales (Inalco), Doan Cam Thi a publié de nombreux articles et ouvrages dont Poétique de la mobilité. Les lieux dans Histoire de ma vie de George Sand (Rodopi, 2000) et Au rez-de chaussée du paradis. Récits vietnamiens 1991-2003 (Philippe Picquier, 2005). Elle a traduit en vietnamien La Douleur de Marguerite Duras (Hanoi, Les Éditions des Femmes, 1999), en français L’Embarcadère des femmes sans mari de Duong Huong (Aube, 2002) et Chinatown de Thuân (Le Seuil, 2009). Doan Cam Thi est lauréate du prix « Le mot d’or de la traduction 2005 » (Unesco – AIF – Société française des traducteurs)

 Au Vietnam, la guerre, l’amour et l’écriture forment souvent un seul acte.
Cet essai propose un voyage littéraire dans l’ancien bastion du communisme en Asie du Sud-Est et tout nouveau membre de l’OMC. Comment subvertir l’idéologie de la « grandiose lutte patriotique » dans une société d’après-guerre pétrie d’autoglorification ? Comment représenter les hommes, les femmes et leurs corps quand le romantisme révolutionnaire conçoit l’amour comme une simple figure de propagande ? Comment écrire « je » lorsque les doctrines dominantes privilégient la masse, la classe, la nation ? Comment passer du réalisme socialiste au postmodernisme dans une culture profondément rurale ? L’ouvrage prend le risque de montrer une littérature en train de se faire, ses ambitions et ses orientations.
La littérature vietnamienne est indissociable de son contexte. Tenter sa lecture, c’est accepter l’étude de ses compromis, résistances et affrontements avec le pouvoir.

 

Table des matières :

Première partie : Guerre et littérature à l’âge post révolutionnaire

I. Quand l’écrivain mène l’enquête

Chapitre 1 : Réforme agraire ou guerre civile ?
La Réforme agraire, une page blanche dans l’histoire contemporaine
Quête et enquête
Des corps souffrants : de la destruction à l’autodestruction

Chapitre 2 : Versions secrètes de la guerre américaine
Qui est l’ennemi ?
Stratégies narratives et réceptions

II. Des hommes, des femmes, la guerre
Chapitre 3 : Femme / Fantasme / Histoire
Guerre et folie féminine
Compromis, résistance, transgression

Chapitre 4 : Un couple face à la guerre
Guerre et sexualité

L’ère du soupçon
III. La guerre à l’épreuve de la subjectivité
Chapitre 5 : Le Chagrin de la guerre ou l’impossible autobiographie
L’individu face au communisme
Genèse d’un contre discours

Chapitre 6. Le journal de Dang Thuy Trâm : le Moi contre la guerre
L’écriture de soi
Un texte ambigu

Deuxième partie : Écrire le Vietnam en paix
IV. Parler de soi

Chapitre 7 : Les mauvais pères
Le meurtre du patriarche
Un sûtra pour la parricide

Chapitre 8 : Une pluralité de “je”
Du journal intime à l’atelier d’écriture
Lorsqu’un personnage est écrivain

V. Poésie et marginalité
Chapitre 9 : Le poète n’est ni un penseur ni un prophète

Chapitre 10 : Ouvrir la bouche
Comment résister au lyrisme ?
Poésie comme produit de consommation

VI. Vers un Vietnam cosmopolite
Chapitre 11 : « Être un étranger dans sa propre langue »
Saigon Paris Bolsa
Exil et création
« Nous pensons ailleurs »

Chapitre 12 : Hanoi post communiste vu de l’extérieur
Hanoi Moscou Paris
Le roman comme recherche
Chinatown ou une nouvelle configuration du monde

Épilogue
Index des auteurs et des mouvements littéraires
Index des œuvres et des revues littéraires
Table des matières

 

Du NÔ à Mata Hari

Du NÔ à Mata Hari

Du 15 avril au 31 aout 2015 au Musée Guimet

 

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Le musée national des arts asiatiques – Guimet propose une exposition sur 2000 ans de théâtre en Asie. Ce panorama inédit s’anime de ce qui participe, comme signes visibles et tangibles, de l’essence même du théâtre : le costume, la parure et le masque.

Des costumes du théâtre indien aux kimonos et masques de nô japonais, en passant par les robes de l’Opéra de Pékin et le théâtre d’ombre de l’Asie du Sud-Est, c’est tout un monde de divinités, d’animaux et de personnages qui prend vie.

L’exposition aborde les aspects épique et dramatique qui caractérisent les différentes créations théâtrales asiatiques dans toutes leurs variétés. Les premières représentations qui en sont conservées sont les substituts funéraires de terre cuite – minqi – montrant des
danseurs et des acrobates datant de la Chine des Han (206 av. J.-C. – 220 ap. J.-C.). L’exposition culmine avec une relecture contemporaine des traditions théâtrales avec la présentation concertante de kimonos paysages d’Itchiku Kubota qui donne tout son sens à la dimension scénique du costume.

Dépassant leurs sources rituelles, les théâtres dansés en Inde se sont épanouis en une perfection gestuelle qui a donné naissance à des formes complexes et raffinées tel le kathakali dès le 17e siècle. En Asie orientale, un théâtre historique, s’appuyant sur des chefsd’oeuvre littéraires a suscité la création de costumes chatoyants mais extrêmement codifiés.

Le masque est particulièrement mis à l’honneur dans l’exposition, tant il est indissociable des formes du théâtre en Asie, de l’Inde jusqu’au Japon, du théâtre épique au drame historique.

Marionnettes et théâtres d’ombres de l’Asie du Sud-Est et de la Chine forment un autre pan de cette création et servent tantôt des textes épiques, tantôt des textes historiques, leur présentation évocatrice introduisant le visiteur dans un espace peuplé de silhouettes. Les cuirs découpés, âmes des ancêtres, confèrent un pouvoir surnaturel au montreur capable de faire revenir les morts, de guérir ou d’exorciser.

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Un grand barong – lion à l’ossature légère habillée de textiles ou de fibre végétale – accueillera le visiteur de l’exposition au milieu de silhouettes architecturales asiatiques et modernes, exprimant ainsi la capacité d’adaptation et de réinvention de ces traditions
millénaires et toujours en pleine effervescence.

L’auditorium du musée offrira de nombreuses représentations de spectacles de théâtre chanté et dansé. Outre la projection des épopées fondatrices du Ramayana et du Mahabharata, il proposera une riche programmation de films et documentaires. Ainsi Mata Hari, qui, en exécutant en 1905 des danses brahmaniques dans l’ancienne bibliothèque du musée Guimet aménagée en petit temple hindou, s’illustra devant le Tout Paris orientaliste médusé, sera mise à l’honneur dans les salles mais également à travers un documentaire et deux films de fiction. Quant au célèbre opéra chinois, Le pavillon aux pivoines, celui-ci sera projeté en intégralité durant trois jours.

Le catalogue, premier ouvrage de référence sur ce sujet, présentera un panorama des types de théâtre asiatique des origines à nos jours : théâtre joué, dansé, chanté, acrobatique et animé.

Cette exposition est rendue possible grâce à des prêts importants accordés par la Fondation Oriente de Lisbonne, la collection Kubota de Kawaguchiko, le musée du Quai Branly et des collectionneurs privés.

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L’Ecole de Lingnan

Du 20 mars au 28 juin 2015  Au Musée Cernuschi

 

L’Ecole de Lingnan, l’éveil de la Chine moderne

Les mardis, mercredis, jeudis à 14h30 de mars à juin 2015
Le musée sera fermé les 5 avril, 1er mai, 8 mai, 14 mai, 24 mai

La naissance et l’évolution de la dernière grande école de peinture traditionnelle dans le contexte politique mouvementé de la Chine au début du XXe siècle

 
Chen Shuren, Lion en alerte au crépuscule, 1926, détail © Hong Kong Museum of Art

 

Dernière grande école de peinture traditionnelle chinoise, l’école de Lingnan est née au Guangdong (actuelle région de Canton), province depuis longtemps ouverte au commerce international et aux influences étrangères.
Au début du XXe siècle, Chen Shuren et les deux frères Gao, Gao Jianfu et Gao Qigeng, s’inquiètent de l’essoufflement politique et culturel de la Chine. comme bon nombre de leurs contemporains artistes et penseurs, ils se tournent alors vers le Japon pour refonder une modernité chinoise. Ils s’inspirent du Nihonga, mouvement rénovateur de la peinture traditionnelle japonaise, et élaborent un style pictural original.

L’école de Lingnan s’enrichit des sujets naturalistes propres à la sensibilité japonaise. De plus, les thèmes inspirés par l’actualité contemporaine et d’autres mettant en scène le peuple dans ses activités quotidiennes occupent une place jusque-là inédite dans l’art chinois. La montée du nationalisme en réponse à la perte d’autorité de l’Etat mandchou et face aux ingérences étrangères, conduit ces artistes à s’interroger sur les implications sociales et politiques de leur travail et à aborder frontalement les événements tragiques de l’histoire en marche.

Grâce à la riche collection du Musée de Hong Kong et au prêt d’œuvres japonaises par des musées européens et des collectionneurs privés, le musée Cernuschi retrace la naissance de cette école et la complexité de son inscription dans un contexte politique mouvementé qui lui confère son importance artistique autant qu’historique.

Catalogue :39,90 €
Editions Paris Musées 
176 pages – 80 illustrations 

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Aller à l’INHA (Vivienne)

Siège de l’Université Paris-Sorbonne

Aller à la Maison de la Recherche, aux PUPS (« Serpente »)

Aller à l’Institut d’Art (« Michelet »)

LADRECH Karine

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Ladrech Karine_

Maître de Conférences

Formation
2004 : Doctorat en Histoire de l’Art : « L’iconographie de Bhairava dans la sculpture du Sud de l’Inde (jusqu’au XIIIe siècle) / Iconography of Shiva Bhairava in South Indian sculpture (upto the 13th cent. A.D.) ». Université Paris IV-Sorbonne. Jury: F. Blanchon (dir), B.Dagens, N. Balbir, E. Parlier-Renault. Mention Très Honorable avec les Félicitations du Jury

2001 : Licence d’études indiennes à l’Université Paris III-Sorbonne Nouvelle

1999 : DEA en Histoire de l’Art : « Bhairava et ses représentations au Népal », Université Paris IV-Sorbonne. Dir. Flora Blanchon

1998 : Maîtrise en Histoire de l’Art : « L’iconographie de Bhairava dans la sculpture hindoue du nord de l’Inde ». Université Paris IV-Sorbonne. Dir. Édith Parlier-Renault

Responsabilités
2008- Maître de conférences à l’Université de Paris IV-Sorbonne

Sociétés et associations
Membre de la Société Asiatique
Membre de l’Association française pour les études indiennes

Publications :

2013 : « Paduka » , « Bhairava » ; notices du catalogue de l’exposition Sur la route des Indes. Un ingénieur français dans le Tamil Nadu, Musée des Beaux-arts et d’archéologie de Châlons-en-Champagne, du 21 septembre 2013 au 28 février 2014, Ville de Châlons-en-Champagne / Somogy éditions d’art, p. 72 et 124

2013 : Compte-rendu de l’ouvrage Kalamukha Temples of Karnataka. Art and Cultural Legacy, de Vasundhara et Pierre-Sylvain Filliozat, Arts Asiatiques, t. 68, p. 160-161

2010 : Le Crâne et le glaive. Représentations de Bhairava en Inde du Sud (VllIe-XllIe siècles), Pondichéry, Institut français de Pondichéry-École française d’Extrême-Orient (« Indologie », 112)

2010 : « Les divinités farouches », dans L’art indien. Inde, Sri Lanka, Népal, Asie du Sud-Est, Édith Parlier-Renault (dir.), Paris, PUPS, 2010 (« Asie »), p. 246-249

2008 (avec Rachel Loizeau) : « Deux figures oubliées de l’art hoysaḷa », Arts Asiatiques, n°63, p. 3-20

2007 (éd.) : Darasuram. Architecture and Iconography, Pondichéry, Institut français de Pondichéry-École française d’Extrême-Orient [CD-Rom]

2005 (éd., avec la collaboration de N. Dejenne, K. Ramesh Kumar) : Bhairava Sahasrapratimāvaliḥ. Iconographie de la forme terrible de Śiva en Inde du Sud / Iconography of the Terrible Form of Śiva in South India, Institut français de Pondichéry-École française d’Extrême-Orient [CD-Rom]

2002 : « Bhairava à la massue », Bulletin d’Études Indiennes, n°20.1, p. 163-192

GOURNAY Antoine

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Professeur des Universités

Formation
2010 Habilitation à diriger les recherches, soutenue le 04/07/2010, dossier intitulé Architecture et habitat en Chine à la fin de l’époque impériale. Éléments pour une analyse de la maison chinoise. Jury :Marianne Bastid-Bruguière (Membre de l’Institut), Flora Blanchon (directeur, Paris IV), Pierre Clément (École Nationale Supérieure d’Architecture de Paris-Belleville), Nathalie Lancret (École Nationale Supérieure d’Architecture de Paris-Belleville), Liu Jian (Université Tsinghua, Pékin), Edith Parlier-Renault (Paris IV), Léon Vandermeersch (EPHE).

2007-2010 Maître de conférences, Art et Archéologie de l’Extrême-Orient, Université de Paris-Sorbonne.

1998 : Doctorat en Histoire de l’Art : « L’aménagement de l’espace dans le jardin chinois. » Université de Paris-Sorbonne.
Jury : Marianne Bastid, Flora Blanchon (dir.), Philippe Bruneau, Jean-Noël Robert, Léon Vandermeersch.
Très Honorable, Félicitations du Jury.

1988 : DEA en Histoire de l’Art : « Le Yuanmingyuan. L’aménagement de l’espace – les jardins chinois dans les manuscrits orientaux au XVIIe siècle. » Université de Paris-Sorbonne, Dir. Flora Blanchon et Philippe Bruneau. Mention Très bien.

1987 Agrégation de Lettres classiques.

Ancien élève de l’Ecole Normale Supérieure (Ulm).

Responsabilités
2011 Professeur à l’Université de Paris-Sorbonne (art et archéologie de l’Extrême-Orient).
1999 : Maitre de Conférences à l’Université de Paris-Sorbonne.
1995-1999 : Conservateur du Patrimoine au musée Cernuschi.
1995-196 : Commissaire de l’exposition « La Cité Interdite » , Paris, Musée du petit Palais.
1990-1993 : Enseignant-chercheur, Department of Fine Arts, Chinese University of Hong Kong.
1988-90 : Attaché culturel près le consulat général de France à Hong Kong, Lecteur de langue et civilisation française à l’Université de Hong Kong (Hong Kong University).
1987-1988 : Professeur agrégé de Lettres classiques, Lycée La Bruyère Versailles.

Responsabilités administratives et scientifiques :
2007-2010 Directeur adjoint, UFR d’Art et archéologie, Université de Paris-Sorbonne.
2007-2011 Membre du Conseil national des Monuments Historiques (section Parcs et Jardins).
2007-2010 Membre du Conseil national des Parcs et Jardins (Ministère de la culture).

Organisation de colloques internationaux :
2011 Katsushika Hokusai et l’architecture, journée d’étude internationale, INHA, Paris, 6 juin 2011.

2010 Musée Lee Ung-No, Daejon (Corée du Sud) : co-organisation et communication au colloque international L’âme du trait, co-organisé par le CREOPS Paris-Sorbonne et le musée Lee Ung-no (5-6 novembre 2010).

2010 Participation à l’organisation du colloque international Urbanisme, société et développement durable (CREOPS,Paris IV-Sorbonne et Université Tongji, Shanghai, Département d’architecture et d’urbanisme), Shanghai, université
Tongji, 29-30 septembre 2010.

2009 Organisation du colloque international Art et religion au Bhoutan, (Paris, INHA et Musée Guimet, 7-8 octobre 2009, en présence de S.A.R. le Prince Héritier du Bhoutan).

2008 Participation à l’organisation du colloque international Aménagement de l’espace confucéen : le cas de Qufu,
Qufu (Chine), co-organisé par le CREOPS Paris-Sorbonne, l’Université de Pékin, l’université Tsinghua (Pékin), la
municipalité de Qufu et le Société des Amis de Qufu (31 mai-1er juin 2008).

2007 Participation à l’organisation du colloque international La céramique contemporaine et l’Extrême-Orient, sous
l’égide du CREOPS et de la Société française pour l’étude de la céramique orientale (Paris, INHA, 30-31 mars 2007).

Responsabilités éditoriales

2010-2011 Co-directeur de la collection Asie aux Presses de l’université Paris-Sorbonne.

2005-2010 Co-fondateur et membre du conseil de rédaction de la revue Polia, revue de l’art des jardins (10 numéros
parus).

Publications :

1. Architecture et Habitat en Chine à la fin de l’époque impériale, travaux présentés en vue de l’obtention de l’habilitation à diriger les recherches, 2010, dossier comprenant 4 volumes : Synthèse de l’activité scientifique : bilan et perspectives, 1 vol., 102 p. ; Publications, 1 vol., 549 p., Éléments pour une analyse de la maison chinoise, 2 vol. : 1 : Texte, 457 p., 2 : Illustrations, 127 p. (ouvrage en cours de publication aux éditions KLINCKSIECK) .OS

2. « L’architecture dans la peinture : à propos d’une peinture signée Tang Yin intitulée kengou kentang conservée au musée Cernuschi », article à paraître dans Arts Asiatique en 2012. ACL

3. « Le luxe de la Chine ancienne », Monde chinois, n° 29-printemps 2012, p. 36-46. ACL

4. « Orienter l’esprit, s’orienter grâce au trait : remarques sur quelques pratiques artistiques en Extrême-Orient et en Occident », L’âme du trait, actes du colloque organisé conjointement par le CREOPS et le Musée Ungno Lee (Daejon, Corée du Sud), Daejon, Ungno Lee Museum, 2011, p. 121-132. C-ACTI

5. « Qufu, modèle d’aménagement architectural de l’espace confucéen », L’urbanisme à l’aube du XXIe siècle, actes du colloque international Les héritages culturels dans l’urbanisme et l’architecture au XXIe siècle. Projets urbains, architecture et identité culturelle en Europe, Afrique du Nord, Moyen-Orient et Asie (Université Paris Sorbonne-Abu Dhabi, 19 et 20 mai 2008 Paris), Presses de l’université Paris-Sorbonne, 2010, p. 245-252. C-ACTI

6. « Wenhua jingguan yu diyu jiyi – lun Qufu ji shijie yichan » (Paysage culturel et mémoire des lieux : Qufu et le patrimoine mondial), Kuanwenhua duihua – Dialogue transculturel, revue internationale publiée par l’université de Pékin, n° 25, 2009, p. 121-128, synthèse des communications présentées par Roland Lin Chih-Hung et Antoine Gournay au colloque international Projet urbain et identité patrimoniale en Chine : le cas de Qufu, ville natale de Confucius organisé conjointement par la Ville de Qufu, l’université de Pékin, l’université Qinghua (Pékin), le CREOPS (université Paris-Sorbonne) et la Société des Amis de Qufu (Qufu, Institut d’études confucéennes, 31 mai-1er juin 2008). C-ACTI

7. Art et religion au Bhoutan, actes du colloque international organisé conjointement par le CREOPS et le musée Guimet (Paris, INHA et Musée Guimet, 7-8 octobre 2009), à paraître (direction d’édition). C-ACTI

8. La céramique contemporaine et l’Extrême-Orient, colloque international organisé par le CREOPS et la Société française pour l’étude de la céramique orientale (Paris, INHA, 30-31 mars 2007), Paris, Société française pour l’étude de la céramique orientale et Centre de recherche sur l’Extrême-Orient de Paris-Sorbonne, numéro spécial publié par le bulletin de la Société française pour l’étude de la céramique orientale, Paris, 2007. C-ACTI

Organisation de colloques internationaux :

2011 Katsushika Hokusai et l’architecture, journée d’étude internationale, INHA, Paris, 6 juin 2011.

2010 Musée Lee Ung-No, Daejon (Corée du Sud) : co-organisation et communication au colloque international L’âme du trait, co-organisé par le CREOPS Paris-Sorbonne et le musée Lee Ung-no (5-6 novembre 2010).

2010 Participation à l’organisation du colloque international Urbanisme, société et développement durable (CREOPS, Paris IV-Sorbonne et Université Tongji, Shanghai, Département d’architecture et d’urbanisme), Shanghai, université Tongji, 29-30 septembre 2010.

2009 Organisation du colloque international Art et religion au Bhoutan, (Paris, INHA et Musée Guimet, 7-8 octobre 2009, en présence de S.A.R. le Prince Héritier du Bhoutan),

2008 Participation à l’organisation du colloque international Aménagement de l’espace confucéen : le cas de Qufu, Qufu (Chine), co-organisé par le CREOPS Paris-Sorbonne, l’Université de Pékin, l’université Tsinghua (Pékin), la municipalité de Qufu et le Société des Amis de Qufu (31 mai-1er juin 2008).

2007 Participation à l’organisation du colloque international La céramique contemporaine et l’Extrême-Orient, sous l’égide du CREOPS et de la Société française pour l’étude de la céramique orientale (Paris, INHA, 30-31 mars 2007).

Communications présentées lors de colloques internationaux et séminaires universitaires :

– « L’architecture dans la peinture : à propos d’une peinture signée Tang Yin intitulée kengou kentang conservée au musée Cernuschi », colloque international La peinture chinoise : conservation et restauration, organisé conjointement par l’Institut national du patrimoine et le musée Cernuschi (Paris, INHA, 20-21 mars 2009).

– « Le jardin chinois, mise en scène d’une nature réinterprétée », séminaire de recherches interdisciplinaires « Besoins de nature », UMR 8185 Espace, Nature, Culture, CNRS/ Universités Paris VIII et Paris IV, le 17 juin 2011.

– « Métamorphoses de l’habitat chinois au début du XXe siècle », séminaire « Architecture Urbanistique Société : Savoirs, Enseignement, Recherche », cycle « architecture et villes d’Asie : héritages et projets », thème : « Nouvelle donne dans le paysage architectural en Chine contemporaine (XXe-XXIe siècles) ». le 13 décembre 2011.